Publié par Olivier
le 01 novembre 2025 à 11h03
Avant la réception du Racing 92 au stade Marcel Deflandre, Sébastien Boboul et Antoine Hastoy se sont confiés sur la dynamique actuelle du Stade Rochelais. L'entraîneur de l'attaque et l'ouvreur rochelais évoquent la confiance retrouvée et les défis à venir pour le match de Top 14 de dimanche.
Devant la presse, Sébastien Boboul, entraîneur de l'attaque du Stade Rochelais, affiche ses ambitions.
Le technicien maritime insiste sur l'importance de la continuité : "On veut être régulier, continuer à progresser, on a envie d'enchaîner. La confiance est là, on ne veut pas la perdre."
L'ancien joueur souligne le travail effectué ces dernières semaines mais appelle à la vigilance avant la réception du Racing : "Ça fait quelques semaines que l'on travaille bien, c'est important de le valider. Après, on sait ce qui nous attend, on est vite redescendus sur terre pour bien bosser et ne pas être surpris dimanche."
Au sujet de l'adversaire qui se présentera dimanche soir à Marcel Deflandre, le coach anticipe un match difficile face au Racing 92, qui voudra s'offrir une victoire avant sa trêve : "Le Racing, avant ses vacances, va vouloir comme l'an dernier gagner chez nous. Connaissant Patrice (Collazo), je sais qu'il va tout faire pour nous embêter."
Un souvenir douloureux reste dans les mémoires rochelaises. Le 22 février dernier, les Ciel et Blanc étaient venus s'imposer à La Rochelle sur le score de 21 à 26.
Antoine Hastoy a également partagé son analyse en revenant sur la belle victoire à Lyon (19-36) et la dynamique actuelle au club.
L'ouvreur insiste sur l'importance de l'organisation collective pour exprimer tout le potentiel de l'équipe : "Quand on est tous bien clairs dans nos rôles, qu'on sait ce qu'on a à faire, c'est beaucoup plus simple de mettre de l'énergie."

Antoine Hastoy conclut en appelant à la constance dans les performances : "Il faut garder ça, que ça ne soit pas juste un ''one shot''. Car quand on est bien organisés, clairs dans nos têtes, on peut donner tout ce qu'on a."
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